Cuernavaca, nettoyage de printemps et antioxydants
C'est reparti !
Reparti le printemps ?
Oui. Ici, les 20 et 21 mars, on s’offre volontiers des fleurs de tournesol, vraiment chouette !
Mais surtout : repartie l’énergie !
Digérées (où presque) mes six côtes cassées ; gérées
mes six anesthésies dentaires (depuis juillet) et l’implant pleins d'oxyde de
graphène[1],qui
m'ont mis à plat jusqu'en février[2], grâce à la prise des antioxydants recommandés par des lanceurs d'alerte pour
lesquels j’ai dorénavant une profonde gratitude[3]
: à moi de nouveau le vélo et la marche pour continuer la découverte de ce pays
extraordinaire qu'est le Mexique.
[1] Les nanomatériaux à base de carbone
renouvelables et écologiques, notamment le graphène et l’oxyde de graphène,
possèdent d’extraordinaires propriétés physiques, chimiques et biologiques. Comme l’attestent très officiellement de nombreux articles scientifiques,
on les utilise depuis des années pour les implants dentaires [cf.
par exemple Renewable Carbon Nanomaterials: Novel Resources for
Dental Tissue Engineering - PMC (nih.gov)], ou pour obtenir des effets
prolongés de l’anesthésie locale [Lidocaine-loaded reduced graphene oxide hydrogel for
prolongation of effects of local anesthesia: In vitro and in vivo analyses -
PubMed (nih.gov)].
[2] Les études européennes sur l’éventuelle toxicité du graphène sont en cours [https://lejournal.cnrs.fr/articles/le-graphene-est-il-toxique]. Comme d’habitude, on a mis la charrue avant les bœufs, et on nous refait le coup de l’amiante (par exemple)...
[3] Mon état de grande fatigue m’a invité à expérimenter les moyens proposés par les lanceurs d'alerte affirmant que le graphène est nocif pour notre santé et qu’il convient de le dégrader : j’avais tout à gagner. Bien m’en a pris, et pour moi les choses sont claires désormais – rien ne vaut l’expérience ! et personne ne peut me l'enlever...
Le Palais de Cortés de Cuernavaca, en convalescence jusqu'à il y a peu suite au tremblement de terre de 2018, fut un excellent prétexte pour quitter enfin, après deux mois et demi enfermé à Mexico, les déplacements souvent conflictuels (surtout pour les cyclistes, qui outre de risquer souvent leur peau, sont alégrement klaxonnés ou insultés pour le simple fait d’être là…), le bruit des avions et plus encore des hélicoptères (des forces de l’ordre…ou des ultra-riches pour lesquels il est tellement plus simple d’assourdir la populace pour se déplacer…), sa pollution parfois suffocante…
Détail d'un plafond peint du Palais de Cortés
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