Acapulco, mon amour ?

Acapulco a d'abord été une épreuve : une bonne heure de montée sous un soleil de plomb le long d'une deux fois deux voies, entouré de voitures et de bus vrombissants et de coup de klaxons fort peu sympathiques - le ton était donné, les gens d'ici m'ont peu séduit, je les ai même souvent trouvés sous-éduqués à vouloir me griller la politesse dans les files d'attente, tous âges confondus. J'ai quand même rencontré ces couples super sympas sur la plage...mais ces retraités de la police sont de Mexico, en villégiature par ici, pas des locaux du tout : Cette montée éprouvante par la colline est un passage obligé pour pénétrer par l'Est dans l'immense baie naturelle protégée par un écrin montagneux qu'est le site de la ville (il y a bien un tunnel autoroutier, interdit évidemment aux vélos). Puis il m'a fallu une dizaine de kilomètres pour longer toute la côte urbaine (la Costera ), dans une circulation de fous (...